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Vous voici sur un lecteur audio. Chaque séquence dure entre 1 et 3 minutes. Elles introduisent les modules et certains exercices.
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Pour chaque question vous aurez le choix entre 3 propositions de réponse. Chaque bonne réponse vous rapportera 5 points.
Vous avez également la possibilité de répondre « je ne sais pas » et de passer directement à la question suivante.
Tout le monde a fait l’expérience du stress dans sa vie.
Avant de commencer, testons vos connaissances sur le sujet grâce au petit QCM qui suit.
Face à un même événement, deux personnes différentes peuvent réagir de façon totalement opposée.
Par exemple, prendre la parole en public peut être une grande source de stress pour une personne alors que ce sera un plaisir pour une autre.
Chaque personne est donc stressée par des événements différents et y réagit de manière différente, au niveau physique, cognitif et émotionnel.
Concrètement, le stress va se manifester pour certains par des maux de ventre alors que d'autres vont avoir du mal à se concentrer, par exemple.
Face à un même événement, deux personnes différentes peuvent réagir de façon totalement opposée.
Par exemple, prendre la parole en public peut être une grande source de stress pour une personne alors que ce sera un plaisir pour une autre.
Chaque personne est donc stressée par des événements différents et y réagit de manière différente, au niveau physique, cognitif et émotionnel.
Concrètement, le stress va se manifester pour certains par des maux de ventre alors que d'autres vont avoir du mal à se concentrer, par exemple.
Face à un même événement, deux personnes différentes peuvent réagir de façon totalement opposée.
Par exemple, prendre la parole en public peut être une grande source de stress pour une personne alors que ce sera un plaisir pour une autre.
Chaque personne est donc stressée par des événements différents et y réagit de manière différente, au niveau physique, cognitif et émotionnel.
Concrètement, le stress va se manifester pour certains par des maux de ventre alors que d'autres vont avoir du mal à se concentrer, par exemple.
Face à un même événement, deux personnes différentes peuvent réagir de façon totalement opposée.
Par exemple, prendre la parole en public peut être une grande source de stress pour une personne alors que ce sera un plaisir pour une autre.
Chaque personne est donc stressée par des événements différents et y réagit de manière différente, au niveau physique, cognitif et émotionnel.
Concrètement, le stress va se manifester pour certains par des maux de ventre alors que d'autres vont avoir du mal à se concentrer, par exemple.
Les sondages récents montrent que près d’un quart de la population Française se dit stressé quotidiennement.
Les sondages récents montrent que près d’un quart de la population Française se dit stressé quotidiennement.
Les sondages récents montrent que près d’un quart de la population Française se dit stressé quotidiennement.
Les sondages récents montrent que près d’un quart de la population Française se dit stressé quotidiennement.
Le stress chronique entraine une augmentation de la sécrétion de cortisol ce qui a pour effet d’affaiblir le système immunitaire et nous rend plus vulnérable aux maladies, qu’elles soient bégnines – comme le rhume – ou plus graves, comme les maladies cardio- vasculaires.
De plus, lorsque nous sommes stressés, nous n’adoptons pas le mode de vie le plus sain pour notre santé. Nous avons tendance à manquer de sommeil, à pratiquer moins de sport et à manger des aliments plus gras et plus sucrés, ce qui augmente notre probabilité de tomber malade.
Le stress chronique entraine une augmentation de la sécrétion de cortisol ce qui a pour effet d’affaiblir le système immunitaire et nous rend plus vulnérable aux maladies, qu’elles soient bégnines – comme le rhume – ou plus graves, comme les maladies cardio- vasculaires.
De plus, lorsque nous sommes stressés, nous n’adoptons pas le mode de vie le plus sain pour notre santé. Nous avons tendance à manquer de sommeil, à pratiquer moins de sport et à manger des aliments plus gras et plus sucrés, ce qui augmente notre probabilité de tomber malade.
Le stress chronique entraine une augmentation de la sécrétion de cortisol ce qui a pour effet d’affaiblir le système immunitaire et nous rend plus vulnérable aux maladies, qu’elles soient bégnines – comme le rhume – ou plus graves, comme les maladies cardio- vasculaires.
De plus, lorsque nous sommes stressés, nous n’adoptons pas le mode de vie le plus sain pour notre santé. Nous avons tendance à manquer de sommeil, à pratiquer moins de sport et à manger des aliments plus gras et plus sucrés, ce qui augmente notre probabilité de tomber malade.
Les Dr. Friedman et Rosenman, deux cardiologues Américains, ont mis en évidence les comportements dits « de type A » caractéristiques de personnes étant plus sujettes au stress, et donc aux maladies cardio-vasculaires. Ces personnes sont davantage en lutte contre le temps (hyperactivité, multitâche fréquent, impatience, etc.) et entrent plus en compétition avec les autres, contrairement aux personnalités dites « de type B » plus patientes et conciliantes.
Les réponses b et c sont correctes. Les moins de 25 ans sont plus nombreux à déclarer subir un stress élevé comparativement aux plus de 65 ans. Cela peut être lié notamment aux incertitudes quant à leur avenir, à des difficultés financières plus importantes, une plus grande difficulté à relativiser...
De même, les femmes confrontées à un multitasking professionnel/personnel permanent et à une plus grande précarité de l’emploi expriment plus de plaintes de stress que les hommes. De plus, il est plus difficile pour un homme d’exprimer ses difficultés et ses vulnérabilités dans notre culture que pour une femme, ce qui pourrait également expliquer en partie cet écart.
Les Dr. Friedman et Rosenman, deux cardiologues Américains, ont mis en évidence les comportements dits « de type A » caractéristiques de personnes étant plus sujettes au stress, et donc aux maladies cardio-vasculaires. Ces personnes sont davantage en lutte contre le temps (hyperactivité, multitâche fréquent, impatience, etc.) et entrent plus en compétition avec les autres, contrairement aux personnalités dites « de type B » plus patientes et conciliantes.
Les réponses b et c sont correctes. Les moins de 25 ans sont plus nombreux à déclarer subir un stress élevé comparativement aux plus de 65 ans. Cela peut être lié notamment aux incertitudes quant à leur avenir, à des difficultés financières plus importantes, une plus grande difficulté à relativiser...
De même, les femmes confrontées à un multitasking professionnel/personnel permanent et à une plus grande précarité de l’emploi expriment plus de plaintes de stress que les hommes. De plus, il est plus difficile pour un homme d’exprimer ses difficultés et ses vulnérabilités dans notre culture que pour une femme, ce qui pourrait également expliquer en partie cet écart.
Les Dr. Friedman et Rosenman, deux cardiologues Américains, ont mis en évidence les comportements dits « de type A » caractéristiques de personnes étant plus sujettes au stress, et donc aux maladies cardio-vasculaires. Ces personnes sont davantage en lutte contre le temps (hyperactivité, multitâche fréquent, impatience, etc.) et entrent plus en compétition avec les autres, contrairement aux personnalités dites « de type B » plus patientes et conciliantes.
Les réponses b et c sont correctes. Les moins de 25 ans sont plus nombreux à déclarer subir un stress élevé comparativement aux plus de 65 ans. Cela peut être lié notamment aux incertitudes quant à leur avenir, à des difficultés financières plus importantes, une plus grande difficulté à relativiser...
De même, les femmes confrontées à un multitasking professionnel/personnel permanent et à une plus grande précarité de l’emploi expriment plus de plaintes de stress que les hommes. De plus, il est plus difficile pour un homme d’exprimer ses difficultés et ses vulnérabilités dans notre culture que pour une femme, ce qui pourrait également expliquer en partie cet écart.
Les Dr. Friedman et Rosenman, deux cardiologues Américains, ont mis en évidence les comportements dits « de type A » caractéristiques de personnes étant plus sujettes au stress, et donc aux maladies cardio-vasculaires. Ces personnes sont davantage en lutte contre le temps (hyperactivité, multitâche fréquent, impatience, etc.) et entrent plus en compétition avec les autres, contrairement aux personnalités dites « de type B » plus patientes et conciliantes.
Les réponses b et c sont correctes. Les moins de 25 ans sont plus nombreux à déclarer subir un stress élevé comparativement aux plus de 65 ans. Cela peut être lié notamment aux incertitudes quant à leur avenir, à des difficultés financières plus importantes, une plus grande difficulté à relativiser...
De même, les femmes confrontées à un multitasking professionnel/personnel permanent et à une plus grande précarité de l’emploi expriment plus de plaintes de stress que les hommes. De plus, il est plus difficile pour un homme d’exprimer ses difficultés et ses vulnérabilités dans notre culture que pour une femme, ce qui pourrait également expliquer en partie cet écart.
Bien sur, il y a des événements qui ont un impact plus grand que d’autres. Cependant, il ne faut pas négliger l’effet sur la santé à plus long terme de «petits» stresseurs répétitifs. Selon le Dr Marc Schwob, neuropsychiatre, plus on est soumis à de petites agressions, plus notre sensibilité à ceux-ci s’accroit, ce qui entraine in fine des réactions disproportionnées de notre organisme.
Bien sur, il y a des événements qui ont un impact plus grand que d’autres. Cependant, il ne faut pas négliger l’effet sur la santé à plus long terme de «petits» stresseurs répétitifs. Selon le Dr Marc Schwob, neuropsychiatre, plus on est soumis à de petites agressions, plus notre sensibilité à ceux-ci s’accroit, ce qui entraine in fine des réactions disproportionnées de notre organisme.
Bien sur, il y a des événements qui ont un impact plus grand que d’autres. Cependant, il ne faut pas négliger l’effet sur la santé à plus long terme de «petits» stresseurs répétitifs. Selon le Dr Marc Schwob, neuropsychiatre, plus on est soumis à de petites agressions, plus notre sensibilité à ceux-ci s’accroit, ce qui entraine in fine des réactions disproportionnées de notre organisme.
Lorsque nous pensons au stress, nous pensons à des choses négatives. Cependant des événements positifs, tel qu’un mariage, peuvent également causer du stress. Ainsi, dans les années 1960, les psychiatres Thomas Holmes et Richard Rahe ont quantifié le potentiel « stressant » d’événements ayant eu lieu dans la vie de 5.000 patients, ce qui a permis de montrer que tous les événements qui provoquent des changements émotionnels dans le corps, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent déclencher du stress.
Lorsque nous pensons au stress, nous pensons à des choses négatives. Cependant des événements positifs, tel qu’un mariage, peuvent également causer du stress. Ainsi, dans les années 1960, les psychiatres Thomas Holmes et Richard Rahe ont quantifié le potentiel « stressant » d’événements ayant eu lieu dans la vie de 5.000 patients, ce qui a permis de montrer que tous les événements qui provoquent des changements émotionnels dans le corps, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent déclencher du stress.
Lorsque nous pensons au stress, nous pensons à des choses négatives. Cependant des événements positifs, tel qu’un mariage, peuvent également causer du stress. Ainsi, dans les années 1960, les psychiatres Thomas Holmes et Richard Rahe ont quantifié le potentiel « stressant » d’événements ayant eu lieu dans la vie de 5.000 patients, ce qui a permis de montrer que tous les événements qui provoquent des changements émotionnels dans le corps, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent déclencher du stress.
Lorsque nous pensons au stress, nous pensons à des choses négatives. Cependant des événements positifs, tel qu’un mariage, peuvent également causer du stress. Ainsi, dans les années 1960, les psychiatres Thomas Holmes et Richard Rahe ont quantifié le potentiel « stressant » d’événements ayant eu lieu dans la vie de 5.000 patients, ce qui a permis de montrer que tous les événements qui provoquent des changements émotionnels dans le corps, qu'ils soient positifs ou négatifs, peuvent déclencher du stress.
Le stress cause des problèmes de sommeil à un peu plus de la moitié des Français.
Le stress cause des problèmes de sommeil à un peu plus de la moitié des Français.
Le stress cause des problèmes de sommeil à un peu plus de la moitié des Français.
Le stress cause des problèmes de sommeil à un peu plus de la moitié des Français.
Bien que le stress puisse favoriser l’apparition ou l’aggravation de maladies telles que l’ulcère ou le cancer, il n’est pas la cause principale de leur survenue.
Le burnout, par contre, est une réaction à un stress intense et prolongé qui conduit à l’épuisement physique et/ou psychologique d’un individu.
Bien que le stress puisse favoriser l’apparition ou l’aggravation de maladies telles que l’ulcère ou le cancer, il n’est pas la cause principale de leur survenue.
Le burnout, par contre, est une réaction à un stress intense et prolongé qui conduit à l’épuisement physique et/ou psychologique d’un individu.
Bien que le stress puisse favoriser l’apparition ou l’aggravation de maladies telles que l’ulcère ou le cancer, il n’est pas la cause principale de leur survenue.
Le burnout, par contre, est une réaction à un stress intense et prolongé qui conduit à l’épuisement physique et/ou psychologique d’un individu.
Bien que le stress puisse favoriser l’apparition ou l’aggravation de maladies telles que l’ulcère ou le cancer, il n’est pas la cause principale de leur survenue.
Le burnout, par contre, est une réaction à un stress intense et prolongé qui conduit à l’épuisement physique et/ou psychologique d’un individu.
Ce questionnaire va vous permettre d’auto-évaluer votre niveau de stress en 10 questions. Le résultat n'a, en aucun cas, valeur de diagnostic médical. Il peut toutefois vous renseigner quant à la possibilité, le cas échéant, de chercher une aide médicale ou psychothérapeutique.
Ce test, l'Échelle du stress perçu, publié par le psychologue Sheldon Cohen et ses collègues en 1983, est le test le plus utilisé dans la recherche en psychologie pour évaluer la perception de chaque individu face au stress.
Répondez le plus spontanément possible.
Pour chacune des 10 questions qui suivront, indiquez à quelle fréquence au cours du dernier mois vous vous êtes senti(e) ou avez pensé de la façon décrite.
Pour répondre, déplacez le curseur sur la fréquence correspondante
Le stress est une question d’équilibre: si nous avons suffisamment de ressources pour faire face aux exigences extérieures et intérieures, nous pourrons faire face de façon optimale aux événements. En revanche, le stress apparaît lorsque nous nous percevons peu efficaces pour y répondre.
La difficulté dépend de la durée du stress et de notre efficacité à le gérer. Un peu de stress peut être bon pour nous, et certaines périodes de stress intenses ne sont pas préjudiciables. Il peut cependant devenir un problème lorsqu’il dure trop longtemps ou lorsque nous avons le sentiment de ne plus pouvoir maitriser la situation.
Nous pouvons donc aborder le stress de deux manières: soit nous réduisons notre surcharge, en éliminant certaines contraintes qui pèsent sur nous, soit nous essayons d’améliorer nos ressources, en développant par exemple une meilleure gestion de notre temps.
Le stress est un problème très répandu mais qui peut prendre des formes très différentes d’une personne à l’autre. Alors que certains seront irritables, d’autres seront apathiques. Pour certains, la nourriture sera une planche de salut, alors que pour d’autres il sera impossible d’avaler quoi que ce soit. Les manifestations du stress sont donc nombreuses et variées mais peuvent être regroupées en trois catégories selon ce qu’elles impactent: le corps et les comportements, les émotions ou les pensées.
Dans cet exercice, essayez de retrouver la catégorie à laquelle appartient chaque manifestation de stress qui vous sera proposée. Pour cela, déplacez la case blanche centrale dans l’une des catégories en bleu à droite de l’écran. Chaque bonne réponse vous rapportera 3 points.
Pour cela, remplissez ce questionnaire en repensant aux deux dernières semaines écoulées et indiquez la fréquence de survenue de chacune des manifestations indiquées. Vos symptômes principaux seront sauvegardés dans votre tableau de bord.
Afin d’avoir une représentation complète et plus précise de la manière dont se manifeste votre stress, vous pouvez mesurer la fréquence d’apparition de différents symptômes physiques, cognitifs (les pensées) et émotionnels qui lui sont liés.
Il ne faut pas confondre le stress et les stresseurs. Le stress est une réaction naturelle de l’organisme qui se produit en nous. Le stresseur est l’événement qui déclenche la réaction de stress et il apparait dans l’environnement (une lettre des impôts, une dispute avec son conjoint, un dégât dans la maison, un licenciement, un départ en retraite…).
Les stresseurs sont très nombreux et ils peuvent être classés dans deux grandes catégories :
Les études montrent que l’accumulation d’un certain nombre de « points de stress » dans les deux années précédentes augmentait les risques de présenter une maladie physique ou psychologique sérieuse.
Face à la même quantité de stresseurs, chacun va réagir très différemment, en partie, d’ailleurs, parce que chacun d’entre nous va les percevoir différemment.
Il est également important de souligner que des événements positifs (comme le mariage ou la naissance d’un enfant) sont considérés comme des stresseurs à part entière, car ils nécessitent un effort d’adaptation de la part de tout individu… même si ceux-ci sont censés nous apporter beaucoup de joie.
Pour certains, ce ne sont pas seulement les grands événements de vie qui seraient à l’origine du stress, mais aussi et surtout l’accumulation quotidienne de petites frustrations et contraintes (conflits entre personnes, problème financier, pression du temps, nuisance sonore… ). De façon isolée, ce stresseur ne sera pas suffisant pour générer un grand stress. En revanche, c’est dans la durée et la fréquence que le stress va prendre forme.
Une meilleure prise en compte des stresseurs du quotidien permet de mieux agir sur eux.
Il est important pour chacun d’identifier ses facteurs de stress, c’est ce que vous permettra cette courte échelle de facteurs de stress. Pour chaque facteur, indiquez s’il vous provoque un stress nul, faible, moyen ou important. A la fin du questionnaire, vos stresseurs principaux seront sauvegardés dans votre tableau de bord
Vous avez gagné le badge « Connaissance de soi » qui débloque l’accès à votre carnet de bord du stress disponible dans votre boite à outils.
Les stresseurs professionnels peuvent être de différentes origines. Les Pr. Cartwright et Cooper de l’Université de Manchester décrivent 6 catégories de stresseurs qui sont liés:
Dans l’exercice qui suit, remettez les différents stresseurs apparaissant au centre de l’écran, dans les catégories correspondantes en les faisant glisser dans la bonne case. Chaque bonne réponse vous rapportera 3 points.
Le stress professionnel peut avoir des impacts plus ou moins importants sur la santé. Parmi les problématiques principales, notons :
Les troubles anxieux sont un groupe de troubles psychologiques dont les symptômes sont notamment une anxiété excessive, un sentiment de peur, d'inquiétude et des comportements d'évitement. Les troubles anxieux comprennent plusieurs autres troubles : les attaques de panique, le trouble obsessionnel et compulsif, la phobie sociale, le trouble de l’anxiété généralisée, les phobies et le trouble du stress post-traumatique.
Caractérisée par une tristesse importante, un ralentissement général, une perte d’élan vital, des pensées négatives et souvent des symptômes de fatigue, d’anxiété, de troubles du sommeil. À l’échelle mondiale, environ 280 millions de personnes souffrent de dépression (source OMS).
Il survient généralement après une longue période de stress professionnel chronique ayant épuisé les ressources de la personne. Il est caractérisé par un épuisement émotionnel et physique, une dépersonnalisation et une perte de sentiment d’accomplissement personnel et de dévalorisation de son travail.
Les addictions se caractérisent par la consommation d’une substance psychoactive (alcool, tabac, drogues, médicaments). Les pratiques addictives peuvent aussi être liées à des activités (le travail, internet, téléphones portables, jeux vidéos, sport…).
Ils regroupent des maladies chroniques affectant les muscles, les tendons et les nerfs au niveau de la colonne vertébrale, des articulations des membres supérieurs (épaules, coudes, poignets-mains), et inférieurs (genoux, chevilles). Ils se manifestent par des douleurs et gênes dans les mouvements pouvant entraîner un handicap sérieux. Le syndrome du canal carpien et les tendinites sont les difficultés les plus répandues.
Le stress est un phénomène transversal qui atteint tout le monde quel que soit notre âge ou notre condition: il est indissociable de la vie.
Il nait d’une évaluation personnelle d’une situation qui provoque chez nous une réponse physique, psychologique et/ou émotionnelle.
Le stress émerge devant une situation perçue comme une menace personnelle du fait de son imprévisibilité, sa nouveauté ou l’impression de manquer de contrôle.
En situation de stress, nous libérons des hormones comme l’adrénaline, le cortisol ou la noradrénaline pour faire face à la situation.
Les stresseurs les plus fréquents sont liés aux événements de vie positifs ou négatifs et à des problématiques de la vie quotidienne.
Au travail, les stresseurs professionnels incluent notamment la charge, l’organisation du travail, les relations professionnelles, l’environnement physique et l’équilibre vie privée/vie professionnelle.
En cas de stress chronique, notre organisme finit par s’épuiser, laissant place à des désordres physiques ou psychologiques plus graves.
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